La traduction des textes joue un rôle inestimable dans le développement de l'humanité. Avec son aide, les gens apprennent la culture d'autres pays, rejoignent le patrimoine international, trahissent les connaissances scientifiques et autres.
La chose principale dans le processus de traduction des textes est,naturellement, traducteur. Son rôle est important. C'est pourquoi les gens de cette profession sont très exigeants. Un bon interprète ne doit pas seulement parfaitement maîtriser toutes les couches de la langue. Il doit connaître les particularités de la culture nationale du pays, sa géographie, son histoire, son économie, sa politique. Sans connaître ces caractéristiques du pays de la langue de laquelle la traduction est préparée, il est impossible de transmettre correctement et avec précision les nuances du texte.
La traduction est particulièrement difficiledes mots équivalents, c'est-à-dire les unités linguistiques qui n'ont pas de correspondance dans d'autres langues. La définition donnée à cette notion par Vereshchagin et Kostomarov dit qu'un vocabulaire équivalent est un mot dont le sens ne peut être comparé à des concepts lexicaux présents dans d'autres langues.
Naturellement, tout d'abord, les mots se réfèrent à la couche donnée, qui dénote des concepts spécifiques, des concepts absents dans d'autres pays ou d'autres peuples, réalités et phénomènes.
Les réalités comprennent des objets du quotidien, des rituels,processus qui sont absents des autres peuples. Les mots "sakura", "satsivi", "perestroïka" et il y a des exemples de cette couche de langage que les experts appellent "lexique non équivalent".
Le concept inclut également des historicismes, des mots qui ont perdu leur pertinence, parce que les objets ou les phénomènes qu'ils ont appelés ont disparu. Ceux-ci comprennent, par exemple, "arménien", "diligence", "scimitar", etc.
Comment résolvez-vous les problèmes lexicaux de la traduction? Il existe plusieurs façons de résoudre le problème.
Le lexique équivalent est rapidement empruntéd'autres langues, parce que sinon, il est difficile de transmettre les caractéristiques de la culture d'autrui. Cela se réfère à la "Perestroïka" russe, au "Parlement" anglais, au "méchant" ukrainien.
Mais le vocabulaire équivalent n'est pas seulementréalités et historicismes. Certains mots dans différentes langues sont différents dans leur volume sémantique, ce qui doit être pris en compte lors de la traduction. Ainsi, par exemple, en anglais, le mot «girl» signifie à la fois «girl» et «girl». Il est clair qu'en russe ces concepts ont des sémantiques différentes.
Les difficultés de traduction provoquent très souvent une évaluationcomposant de la signification d'un mot. Donc, si le « soleil » russe a un ton émotionnel neutre, le « Oftob » tadjik, en raison du climat chaud, a une composante négative est proche de sens aux concepts de « brûler », « brûler ».
L'une des plus grandes difficultés est la traductionunités phraséologiques. Les expressions idiomatiques ont évolué sous l'influence des orientations de valeur, des visions du monde, des traditions culturelles des locuteurs natifs. C'est pourquoi le traducteur doit parfaitement connaître non seulement la sémantique figurative de la langue choisie, mais aussi l'histoire, la culture du peuple dans son ensemble.
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